En 2012, depuis un lieu tenu secret au Liban, Nasrallah livre à Julian Assange un aperçu rare et franc de sa vision de l’avenir du Moyen-Orient.
The Julian Assange Show Épisode 1 : Nasrallah (2012) :
Combattant de la liberté pour les uns, terroriste pour les autres, Hassan Nasrallah accorde ici sa première interview en Occident depuis 2006. Depuis un lieu tenu secret au Liban, Nasrallah livre à Julian Assange un aperçu rare et franc de sa vision de l’avenir du Moyen-Orient.
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« C’est exactement ce que l’Amérique et Israël veulent pour la Syrie », insiste Nasrallah. Il accuse également Al-Qaïda de « vouloir transformer la Syrie en champ de bataille ». Il ne s’est certainement pas retenu, et avec Assange qui pose les questions, les révélations continuent d’affluer.
Il croit en Bachar al Assad : « J’ai personnellement constaté que le président Assad était tout à fait disposé à mener des réformes radicales et importantes. Mais il faut que l’opposition accepte de dialoguer ».
Mais il n’y a pas que la Syrie qui soit à l’ordre du jour. Il nie avec véhémence les allégations de corruption visant le Hezbollah. « Cela fait partie des rumeurs qu’ils voulaient utiliser pour discréditer le Hezbollah et déformer son image. Cela fait partie de la guerre médiatique menée contre nous ».
Qu’en est-il du passé violent du Hezbollah ? « Le Hezbollah a eu recours au bombardement de civils uniquement pour empêcher Israël de bombarder nos civils », explique-t-il.