Mis à jour le 8 juillet 2022, Arrêt sur info

Dans toute guerre la propagande est reine. Des agents étatiques (services de renseignements et provocateurs professionnels) sont omniprésents sur les réseaux sociaux. Leur objectif est de contrôler l’information. Les sources qui affirment des opinions contraires sont méprisées, censurées, ostracisées, exclues. Qu’importe : nous assumons d’agir dans le respect des règles de la profession de journaliste de façon à « respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour soi-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité. »

Arrêt sur info se distancie de l’information délivrée par les journalistes traditionnels qui n’assument pas leur rôle de contre-pouvoir, nécessaire en démocratie. Et rediffuse cet été, quelques analyses expliquant les mécanismes qui entravent dans nos sociétés démocratiques la liberté d’expression. A commencer, aujourd’hui, par un article touchant la prétendue « lutte contre les fausses informations », un outil d’évaluation des contenus en ligne appelé « Décodex »Red.

 

Par Ojim.fr, le 8 mai 2017


LE 1ER FÉVRIER 2017, LES DÉCODEURS, RUBRIQUE DU MONDE CENSÉE VÉRIFIER LA VÉRACITÉ DES INFORMATIONS PUBLIÉES DANS LES MÉDIAS, CRÉAIENT DÉCODEX, UN MOTEUR DE RECHERCHES PRÉSENTÉ COMME “UN OUTIL DE VÉRIFICATION DE L’INFORMATION À DESTINATION DES ENSEIGNANTS (ET DES AUTRES)” ET FINANCÉ PAR GOOGLE.

Le but : “éduquer à l’information” et mettre en garde le public sur l’absence de fiabilité de certains médias. Mais qu’un journal, producteur d’informations, soit également celui qui délivre les bons ou mauvais points aux autres journaux n’est pas sans poser quelques problèmes… Sans compter qu’au final, quoi qu’en dise Le Monde qui assure ne juger les médias que sur des critères journalistiques, c’est bel et bien un filtre idéologique qu’a mis en place le quotidien “de référence”… qui entend le rester par tous les moyens ! L’Ojim s’est penché sur la dernière idée du système pour tenter de maintenir sa domination idéologique…

Décodons le Décodex

Source: Ojim.fr